ANNEXE ÉPISODE 12 L'idée de tout « internationaliser » est une dystopie qui risque de dépersonnaliser tous les peuples Une propagande incessante nous met aujourd'hui une forte pression à tout voir par un prisme mondialiste qui pourrait nous faire croire qu'un développement nationaliste avec frontières sera un concept dépassé, vieilli ou arriéré. À la place, on vise aujourd'hui à bâtir un empire (occidental) multi-culturel qui mélange tous les peuples dans une harmonie universelle. En réalité, la juiverie mondiale organisée sait très bien qu'il s'agit d'un projet dystopique qu'elle impose de haut en bas. Le but est de dissoudre lentement toutes les nations dans le désordre d'une Babylone de peuples. Si le concept d'amitié entre les peuples peut fonctionner, il devrait se développer d'une autre façon. Avant d'espérer trouver des synergies et travailler ensemble, les peuples doivent se renforcer et raffermir dans leurs individualités et leurs différences. Une fois arrivés à cette maturité, ils peuvent travailler ensemble sans semer de la confusion au niveau de leurs identités particulières. À un examen attentif, le poison de la globalisation a infiltré d'abord les chrétiens d'Europe (dès l'époque coloniale) et ensuite toutes les nations du monde. Je cite « Nuremberg ou la Terre Promise » de Maurice Barres: « La condamnation du parti National Socialiste [allemand] atteint, en réalité, toutes les formes solides, toutes les formes géologiques de la vie politique. Toute nation, tout parti qui se souviennent du sol, de la tradition, du métier, de la race sont suspects. Quiconque se réclame du droit du premier occupant et atteste des choses aussi évidentes que la propriété de la cité offense une morale universelle qui nie le droit des peuples à rédiger leurs lois. Ce n'est pas les Allemands seulement, c'est nous tous qui sommes dépossédés. Nul n'a plus le droit de s'asseoir dans son champ et de dire : "Cette terre est à moi". Nul n'a plus le droit de se lever dans la cité et de dire : "Nous sommes les anciens, nous avons bâti les maisons de cette ville, que celui qui ne veut pas obéir aux lois sorte de chez moi". » Cela pousse tout le monde vers une vie de nomades déracinés, car le monde moderne est (trop) façonné à l'image des juifs. Mais une telle attitude n'a jamais été encouragé par la Bible; Dieu a dispersé les juifs parmi les nations comme une punition pour leur manque de foi et non pas pour approuver un style de vie sans patrie propre. Un peuple qui vit de cette manière ne peut s'élever que s'il exploite une structure civilisatrice bâtie par quelqu'un d'autre. Il est souvent parasitaire (pensez aussi aux gitans) car il n'aura pas de compassion ou de liaison avec l'âme du peuple qui l'accueille. Malgré tout succès économique, le peuple nomade va toujours sentir un vide dans son âme, ce qui ne peut que le déshumaniser et l'éloigner de Dieu.